Test : Fist of the north star : Lost paradise. Ken survit vraiment ?

Tu ne le sais pas encore, mais ta tête va exploser dans 5 secondes. Voilà le genre de phrase que tu pouvais entendre dans le manga Ken le survivant. Le manga était complètement apocalyptique avec des personnages hors normes que ce soit niveau taille ou niveau intelligence car cela ne volait pas haut. Mais l’histoire et les combats nous tenaient en haleine et l’effusion de sang était un bonheur pour les yeux dans une époque ou la censure commencée juste à apparaître. Donc quand Fist of the north star : Lost Paradise est arrivé au blog, étant fan de l’animé je me suis jeté dessus !! Je me voyais déjà en plein beat them all, mais non un jeu d’action et d’aventure s’ouvrait à moi. Déçu ?

Synopsis

Fist of the north star : Lost Paradise ne va pas suivre l’histoire exact du manga, mais on va dire que cela se passe dans un univers parallèle que l’on pourrait appeler : Terre-2 comme dans la série the flash. Ceci étant dit c’est un détail. On est bien dans l’univers de Ken le survivant ou énormément de similitude seront présentes, mais on reste loin du manga d’origine. On incarne donc Ken qui va rechercher sa Barbie sous le nom de Yuria qui a été enlevé par son frère d’arme et qui pourrait se trouver dans la ville d’Eden. On se retrouve donc (une fois le tutoriel passé) devant les portes de la ville et l’histoire commence.

Combat ou aventure ?

Et bien je te dirais que c’est les deux ! Fist of the north star : Lost Paradise après un tutoriel où on se dit que c’est un pur je de baston à la beat them all on se retrouve clairement dans un jeu en monde presque ouvert (ouvert par zone) comme dans Shenmue (le test du remaster ici) on va devoir faire des quêtes annexes et principales et donc pas forcément avancer et frapper tout ce qui bouge. Sega nous a fait un mélange des genres avec une licence qui s’apprêtait surtout à de la pure bagarre. Et même si encore une fois le français est passé à la trappe (grrrrr) on arrive à s’en passer pour progresser. C’est donc bien dans un jeu d’aventure que nous allons diriger Ken ou bons nombres d’obstacles seront présents que tu devra résoudre à la force de tes points.

De la diversité

Je dois dire qu’il y a une partie du jeu qui m’a bluffé c’est sa diversité dans ses quêtes qui peuvent être surprenantes et pas sérieuses du tout et d’autres ou là on sent toute la noirceur de la série. Il m’est arrivé de sourire par moment (je ne suis pas sadique mais j’aime bien voir les têtes exploser :)) de certaines situations. Voir Ken le survivant barmaid c’est quand même grotesque et cela ne colle pas au personnage, mais ça amène du fun il faut avouer. On se retrouve face, quand-même il faut avouer, a pas mal de missions pas toutes obligatoires, mais la durée de vie s’en retrouve allongée et grandement. Petit coup de cœur pour la partie de base-ball, à la sauce Ken quand-même, avec des poutres en ferrailles en guise de batte et les balles des motards. Tordants de rire. Ce décalage est vraiment un plus dans le jeu. On va pouvoir aussi se déplacer en buggy pour couvrir certaines zones du désert car, je rappel que la série se passe dans un milieu désertique où l’eau se fait rare. La conduite est assez décevantes et même en améliorant le véhicule cela reste difficile à maîtriser.

Des larmes et du sang

Alors, c’est un peu surprenant dans un animé qui se veut accès sur la violence au maximum avec un maximum de testostérone de parler de larmes, mais quand les vilains pas beaux comprennent qu’ils vont vraiment exploser, ils se mettent à braire (comme on dit chez mi) comme des petites filles et tout cela bien sûr dans une explosion jouissive de sang bien rouge. J’ai beaucoup aimé les graphismes qui collent parfaitement à mes souvenirs que j’ai du manga. C’est super propre et cet effet de papier est très agréable à l’œil. Je regrette  les temps de chargement trop présents quand on rentre ou sort d’un bâtiment. Parlons des combats dans Fist of the north star : Lost Paradise, car c’est aussi l’attribut principal de notre héros. Ils sont comme les graphismes, ils collent parfaitement au manga. C’est un plaisir sans nom de diriger Ken et de s’amuser à choisir comment tuer les ennemis. Avec le temps et l’expérience Ken va progresser et développer ses capacités. J’adore quand sa rage peut-être déclenchée ! Une boucherie !

Conclusion

C’est donc une belle surprise pour moi qu’est Fist of the north star : Lost Paradise. Il n’est pas exempt de défaut, mais il fait plaisir par mal de côté et le fan service marche parfaitement. Je regrette encore et toujours l’absence du sous-titrage français, mais on se rend compte que cela n’empêche pas de comprendre l’histoire et la progression. J’ai donc pris plaisir à y jouer.

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