Test : Yonder : The cloud catcher chronicles une aventure sans danger

Quand j’ai reçu le jeu à tester et que je l’ai juste lancé 5 minutes pour voir à quoi m’attendre quand je me lancerai dans l’aventure j’ai tout de suite senti un petit Zelda-like pointer le bout de son nez. Alors, ce n’est pas pour me déplaire, car je suis un fan inconditionnel des aventures de Link (comme le neveu de Voltxs de moi) mais je trouvais dommage de ne pas avoir de nouveauté dans le gaming. Une fois mes autres jeux terminés pour le blog je me suis lancé dans Yonder the cloud catcher chronicles et là je me suis rendu compte que ce n’était pas un Zelda-like. Mais pas du tout. J’avais là dans les mains un pur jeu d’exploration tout simplement.

Synopsis

Le jeu débute (à part la personnalisation de votre personnage se résumant au sexe et la couleur des cheveux) en vous retrouvant dans un bateau pris en pleine tempête et forcément vous allez faire naufrage. On se retrouve donc sur l’île de Géméa où de petits esprits tout mignons vont vous demander (sinon ce n’est pas drôle et le jeu serait déjà fini à attendre les secours) de sauver l’île d’une lumière violette qui emprisonne certaines régions. Cela reste la mission principale, mais je dois avouer qu’au bout d’une heure je n’y pensais plus. L’exploration et le cumul de missions annexes m’ont bien occupées.

Un vrai jeu d’exploration

Une fois la mission de sauver l’île est acceptée, je m’équipe de mon épée et de mon bouclier et sus à l’ennemi !!!! Pas d’épée ? Ni de bouclier ? Car, oui dans Yonder the cloud catcher chronicles vous ne serez équipé que de vos outils et de votre boussole magique (très pratique pour vous remettre sur le bon chemin au cours d’une mission) pour partir à l’aventure. On a ici un jeu où il y a pas de méchant. Les seuls personnages que vous allez rencontrer sont les esprits, des animaux et les habitants qui vous demanderont de l’aide pour différentes tâches. C’est purement de l’exploration ou l’objectif reste de supprimer le brouillard mauve. Ce jeu est vraiment fait pour les curieux, ceux qui ne veulent pas passer des heures à se battre contre un méchant, ceux qui aiment grimper sur une montagne pour regarder le travail des développeurs. Vous ne pouvez pas mourir dans ce jeu. Pas de fin du game. La seule fin sera quand vous aurez supprimé tous les brouillards violets et que les esprits vont vous remercier. On peut vraiment prendre ce jeu comme une approche totale d’un jeu open-world pour ceux qui n’en ont jamais fait. C’est parfait pour apprendre. De plus grâce à la boussole on ne peut pas se perdre.

Gameplay et graphismes

C’est sur ce n’est pas une claque visuelle, mais Yonder the cloud catcher chronicles est un jeu simple et il est tout mignon dans ses décors et dans ses personnages. C’est très coloré et baigné de soleil. Les animations sont propres et pour un jeu qui est fait pour ne pas se prendre la tête c’est parfait. Moi tant que cela ne clignote pas, ça ne saccade pas et que les décors apparaissent pas en avançant pour ce type de jeu ça me va. C’est donc une réussite pour un jeu open-world. Aucun temps de chargement. Le gameplay est simple et basique (dédicace à Gohan fan de Orelsan) une simple touche vous montre les tâches à faire. Très pratique surtout quand vous cumulez plus d’une vingtaine de missions. Car oui à explorer et à parler avec les habitants de l’île vous allez très vite cumuler des missions annexes qui n’ont pas de durer dans le temps donc c’est top et vous les faites quand vous le désirez. L’écran affiche toujours l’état de votre quête en cours et pas besoin de faire pause pour ça. Et si vous êtes perdu, la boussole vous aidera avec son faisceau lumineux. Une carte est également présente pour vous repérer, dommage qu’on ne puisse pas y mettre de marqueur, mais un screenshot (cadeau de l’astuce) et un marquage règle ce soucis. Pas pratique mais bon.

Conclusion

J’ai été conquis clairement par Yonder the cloud catcher chronicles, c’est le premier jeu que je fais (jeu d’aventure je parle) ou je me bat contre aucun ennemi. On se balade et on aide les gens. On coupe des arbres on en plantes, on ramène des ressources on découvre… Bref un pur jeu d’exploration avec des PNJ qui vous feront sourire comme cette femme à barbe (m’a fait penser à Gohan avec ses 4 poils au menton) ou l’épouvantail. C’est un jeu qui se prend pas au sérieux et qui est là pour vous faire une belle balade sur Géméa et pour le coup c’est totalement réussi.

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