Test : Portal 2

 

 

J’avais précommandé Portal 2 sur zavvi au petit prix de 32,68€ avec l’incertitude qu’il soit en français. Si vous n’avez pas encore la confirmation, alors je vous la donne, la version anglaise comporte bien le français à 100% (voix, texte, menu). Un petit bémol pour zavvi, qui certes a des prix très attractifs, mais qui a mis 3 semaines pour livrer le jeu (temps entre la date de départ et la réception).

Portal 2, c’est quoi ??

Pour résumé, Portal 2 est un jeu d’énigme dans lequel vous évoluez dans un environnement 3D. Le principe est simple, vous êtes un cobaye et il y a une entrée et une sortie pour chaque test, et le décor tout entier est votre énigme ! Un scénario de science fiction et beaucoup d’humour viennent constituer le fil rouge de votre avancement dans le complexe d’Aperture Science.

 

Graphismes :

J’ai joué au premier épisode de Portal sur mon ancien pc en faible résolution, donc j’avoue qu’avec la version PS3 de Portal 2 je me régale. Les graphismes sont simples et efficaces, mais on peut tout fois distinguer des hauts et des bas sur les textures. Dans les salles de test, les textures sont très propres. Mais dès que l’on s’aventure dans le complexe d’Aperture, certaines textures font vieillissantes. Chose que l’on pourra facilement pardonner, car c’est implicitement du au scénario, puisque 100 ans se sont écoulées depuis le premier épisode. Vous incarnez donc de nouveau Chell, qui est réveillée de sa cryostase, car le centre part en lambeaux. Les cinématiques de destructions et de réaménagements dynamiques des salles sont plutôt bien fait d’ailleurs ! Ca se déforme et ça s’écroule dans les tous sens, c’est beau à voir !

 

 

 

Bande son :

Les voix françaises sont vraiment excellentes, non pas pour leurs voix à proprement dit, mais sur la qualité de la traduction. Dans d’autres jeux, ça arrive souvent que l’on est des blagues avec des références américaines retranscrites mot pour mot en français, mais qui ne font pas forcément sourire le public européen. Ici ce n’est pas du tout le cas, les expressions et les références sont vraiment à destination de l’audimat français. Valve a fait un très très gros boulot pour le coup qui mérite d’être félicité. A la sortie de votre cryostase, c’est le petit robot Wheatley qui sera votre guide.  GladOS, l’intelligence artificielle machiavélique qui gère le centre est également de la partie. C’est deux là vont vous faire sourire et rigoler à plusieurs reprises! Vous l’aurez compris les dialogues sont vraiment bons, et les musiques ne sont pas en reste pour autant ! Petit coup coeur pour la toute dernière musique du jeu d’ailleurs. Valve est d’ailleurs grand seigneur puisqu’ils offrent la bande son sur leur site web : http://www.thinkwithportals.com/music.php

 

 

Gameplay / Jouabilité :

Nous sommes dans une vue à la première personne (FPS), que d’habitude je n’affectionne pas trop sur console. Mais ici, la dextérité avec le joystick n’a pas d’importance. Il faudra avant tout faire fonctionner ses méninges. On garde donc le même principe que pour le premier volet, vous êtes équipé d’un portal gun. Cette « arme » est un fait un générateur de portails, un pour l’entrée et un pour la sortie. Vous pouvez donc passer d’un endroit à un autre en passant à travers les portails, qui respectent d’ailleurs les lois de la gravité. C’est à dire que vous conservez votre vitesse d’entrée à la sortie.

La difficulté des énigmes est bien-sûr croissante et au fur et à mesure de votre avancement, il y a aura de plus en plus d’éléments à combiner : des cubes, des réflecteurs, alimenter des mécanismes, actionner des boutons, utiliser des ponts plasma, des tunnels de suspension, des gels de saut/d’accélération/d’assainissement de zone pour créer un portail. Le gameplay est vraiment complet et facile à prendre en main.

Il y a également un mode coopération qui vient complémenter le mode solo. Lui aussi est vraiment très bien pensé, car les niveaux sont conçus pour rendre toute progression impossible pour un joueur seul. Il y a la possibilité d’utiliser un compte à rebours pour faciliter la synchronisation des joueurs, quand par exemple il faut appuyer sur un bouton en même temps. On peut aussi placer un marqueur sur le décor pour indiquer un endroit à son coéquipier pour qu’il place son portail. Il vaut mieux jouer avec un ami, car j’ai joué en ligne avec des inconnus, et la communication n’est pas toujours évidente quand même…

 

En résumé :

Que dire de plus? Graphismes bons, bande son et « dialogues » excellents, scénario sympa, gameplay génial ! Pour moi, ça frôle quasiment le sans faute pour Valve. On peut trépigner sur la durée de vie du solo un peu courte, qui m’a pris 7-8 heures, mais le mode coop vient prolonger largement cette durée. C’est clairement un de mes coups de coeur de l’année, je vous le conseille vivement!!

 

Les plus :

– L’humour

– Le gameplay

– La difficulté bien dosée, ni trop facile, ni trop dure.

 

Les moins :

– Il n’y en a pas vraiment !

 

Ma note :

Les autres articles parlant de Portal :

– L’article sur la précommande

– Le strip de Boidin

– Le test de Portal premier du nom

Où le trouver ? Sur amazon à 46,19€

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0 réponse

  1. Un jeu exceptionnel, il ne faut pas avoir peur des mots, avec un fin bien WTF (comme tout le jeu, en fait!). Valve est vraiment très très fort, entre l’opération marketing et l’ARG pour lancer le jeu, le cadeau de l’OST et l’extrême qualité du jeu.

    J’avais adoré le premier, j’adule celui ci.

  2. Il me le faut absolument, j’ai adoré le 1er épisode et le test me donne trop envie de jouer au 2eme volet 🙂

  3. Dans les moins, je mettrais certainement son prix de lancement aberrant comparé au contenu.
    Mais de fait, vu le prix que tu l’as payé, on peut retirer ce point négatif.
    Très bon jeu !

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