Call of the Night est une licence récente Kurokawa (l’éditeur notamment de One Punch Man, Tsugai ou encore Vinland Saga). J’ai loupé à l’époque la sortie des premiers tomes mais j’en entends beaucoup de bien depuis quelques mois. Vous êtes d’ailleurs nombreux à m’en parler lors de mes lives sur Tiktok (les dimanches à 11h30). J’ai franchi le pas, j’ai dévoré le premier tome et j’avais clairement envie de vous en parler. D’ailleurs, un animé est aussi disponible chez ADN actuellement.

Call of the night: un univers nocturne fascinant
Après avoir fait connaissance avec cette proposition narrative, il est agréable de se plonger dans le premier tome aux épisodes bien rythmés. Chaque chapitre nous fait vivre un moment noctambule des deux personnages principaux, agrémenté de gags et parfois de quiproquos lorsque des personnages tiers s’invitent dans l’histoire. Bien que ce schéma puisse sembler risquer de lasser rapidement, il n’en est rien. La clé réside dans le cadre nocturne que l’auteur, Kotoyama, utilise pour retranscrire la liberté que ressent Kô dans cet environnement obscur, mais libérateur. Dans une cité quasi déserte, les deux protagonistes s’amusent à découvrir de nouvelles facettes l’un de l’autre. Leurs interactions piquantes sont habillement mises en scène par Kotoyama, et l’humour lubrique de Nazuna fonctionne très bien. Visuellement Call of the night est agréable à découvrir ! Cette plongée dans ce monde nocturne ou Kô cherche un moyen de s’occuper et Nazuna un moyen de survivre est intéressante. Le découpage rend les actions dynamiques et j’apprécie beaucoup le coup de crayon. La lecture est rapide et plaisante et j’ai clairement eu envie de découvrir la suite après la fin de ce tome 1, c’est plutôt bon signe non ?
Quelques planches :
YOFUKASHI NO UTA ©2019 KOTOYAMA / SHOGAKUKAN
Call of the night – Auteur : KOTOYAMA – Éditeur : Kurokawa
Chaque tome est disponible au prix de 8,45 € frais de port inclus. Ma note pour ce tome : 16/ 20
