Avis Bande-dessinée : Pendragon, l’épée perdue tome 1

Je dois bien l’avouer j’en ai un peu marre de voir du Roi Arthur mis à toutes les sauces. Celui qui m’avait le plus saoulé c’était dans le film Transformers : The last knight. Cependant, la promesse d’une relecture inattendue de cette légende m’a fait de l’œil. Je me suis donc lancé dans ce premier tome de Pendragon proposé par les éditions Glénat. Un cadeau idéal pour Noël pour votre enfant ? Ne vous y trompez pas il pourrait fortement vous plaire.

Synopsis

Les dieux semblent avoir abandonné les hommes et les terres d’Alba. Ce royaume est désormais la proie de guerres féroces et incessantes. Le sorcier Merlin cherche sans à rétablir l’harmonie. Il devra trouver un roi capable de mettre un terme aux querelles intestines entre les Sept Royaumes. Alors que les combats font rage sur les terres du roi Leodan, la prêtresse Nimue sent que l’heure est proche. Bientôt, un homme fera entrer l’Angleterre dans un âge nouveau : Arthur. Chef de guerre local sans rêve de grandeurs, Arthur n’a pas l’ambition de devenir le Haut-Roi des Basses-Terres. Pourtant ses exploits ont déjà plusieurs fois montré ses qualités de leader et de fin stratège. Pour certains, le futur époux d’Elwen, fille du défunt roi Leodan, incarne le seul espoir face aux troubles grandissants qui menacent l’unité d’Alba.

C’est comment ?

Pour ceux ne le sachant pas, Pendragon n’est pas le Roi Arthur mais son père. Qu’on connaisse la première version ou toutes les relectures déjà proposées l’univers reste vaste. Jérôme Le Grisrevisite  nous propose Pendragon, l’épée perdue tome 1. Pour cette première partie, les seuls noms connus que l’on croise sont ceux d’Arthur, Merlin et le frère du futur roi, Mordred. Le premier changement c’est bien le fait d’en avoir fait des frères, même des demi-frères. Néanmoins le reste est dans le classique et tout se met en place lentement. Les différentes intrigues défilent sans véritables révélations ou événements nouveaux. C’est assez long à se mettre en place, mais cette histoire sera racontée sur quatre tomes. Niveaux graphismes, Benoît Dellac et Paolo Martinello sont aux pinceaux. L’univers nous entraîne dans une aventure dynamique avec des décors immersifs. Les couleurs sont parfaitement choisies et sombres ce qui colle parfaitement à l’histoire. Il faut noter qu’une version en noir et blanc est également disponible.

Conclusion

Pour conclure, Pendragon, l’épée perdue tome 1 est un peu long à se mettre en place et on peut trouver cela mou. Cependant, celui-ci est le premier volume des quatre et il est temps d’attendre les trois suivant pour se faire une vraie idée de l’œuvre. Ma note : 14/20

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