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Test : Eriksholm :The Stolen Dream, infiltration au rendez-vous !

On va faire simple : imagine un jeu d’aventure narratif où l’infiltration est reine. C’est Eriksholm: The Stolen Dream. Développé par une équipe de suédois (et ça se sent !), le jeu est sorti en juillet 2025 sur PC, PS5 et Xbox Series. Le pitch ? Tu incarnes Hanna, une gamine orpheline, qui se lance dans une quête désespérée pour retrouver son frère, Herman, disparu dans la cité d’Eriksholm. Le truc, c’est que cette ville a un sale goût de Scandinavie début XXe siècle, et elle est frappée par une maladie un peu bizarre, la « Peste du Cœur ». L’ambiance est posée, sombre et intrigante à souhait, avec une vraie identité artistique qui colle parfaitement à ce mélange entre conte nordique et thriller dramatique. On est happé dès les premières minutes, et on a envie de savoir où cette histoire va nous mener.

Un gameplay furtif et des héros pas comme les autres

Ici, on ne défonce pas tout sur son passage. La furtivité, c’est la clé. Le jeu est en vue isométrique, et ça te demande de la stratégie. Mais tu n’es pas seul : tu peux switcher entre trois personnages à la volée.

  • Hanna, l’héroïne, a sa sarbacane pour endormir les gardes.
  • Alva, elle, utilise un lance-pierre pour faire diversion.
  • Sebastian, lui, préfère la discrétion et peut étouffer les ennemis par surprise.

C’est ce trio dynamique qui rend le gameplay si cool. Tu dois combiner leurs capacités pour avancer et résoudre des énigmes. Et la narration, mon gars, est juste top. Linéaire, oui, mais ultra immersive. Tu te prends une grosse claque visuelle avec l’Unreal Engine 5 qui fait des merveilles. C’est beau, c’est détaillé, et ça sert une histoire pleine de drame et de choix moraux. Bref, tu ressens que rien n’a été fait au hasard.

Pourquoi la Suède ? Une réponse d’artiste

Le directeur créatif, Anders Hejdenberg, a été influencé par des films comme Kiki la petite sorcière. Pour lui, l’esthétique nordique a quelque chose d’universellement captivant. Ce choix de décor n’est pas juste là pour faire joli. Ça permet d’aborder des thèmes de fond comme l’injustice sociale ou la corruption. Le contraste entre la beauté des paysages et la dureté de la vie, ça donne une vraie profondeur au jeu. En gros, Eriksholm, c’est plus qu’un simple décor, c’est un personnage à part entière.

Verdict : Une pépite incontournable ?

Oui. Même s’il y a quelques petits bugs et que la voix est uniquement en anglais (les sous-titres sont là, rassure-toi), Eriksholm: The Stolen Dream est une vraie réussite. C’est un coup de cœur pour les fans d’infiltration, de récits immersifs et d’univers originaux. Et honnêtement, c’est le genre de jeu qui te donne envie de poser la manette cinq minutes juste pour contempler l’écran et souffler un « wow ». Si tu cherches un jeu avec une âme, une histoire qui te prend aux tripes, et un gameplay intelligent, alors ne cherche plus. Fonce ! Ma note 16/20. Disponible à partir de 39,99€.

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