Blood Crawling Princess débarque le 21 juin prochain chez Kurokawa. J’ai aperçu la cover il y a plusieurs mois et j’étais clairement intrigué. Un visage féminin assez sombre, presque rempli de haine. Avec le mot « blood » dans le titre, tu sens que ça va pas être très poétique tout ça. D’ailleurs, j’ai reçu un petit press kit de la part de l’éditeur il y a quelques jours, contenant le manga mais aussi un casse-noix. La réflexion fut rapide concernant l’utilité de celui-ci… Oui-oui, c’est exactement à ce que vous pensez.

Evita : de survivante à rebelle
C’est le cas d’Evita… mais elle n’est pas sortie de la galère pour autant. Cette dernière va être vendue à une maison close, où elle devient la prostituée Priscilla. D’ailleurs, elle évite de donner ses origines afin de ne pas être tuée. On y voit son quotidien, et c’est pas forcément plaisant, vous vous en doutez. Mais elle va faire la rencontre du 3ᵉ fils du souverain et tout va changer. Non, ils ne vont pas se marier, être heureux et avoir beaucoup d’enfants. Evita prépare une révolte qui risque de changer sa vie, celle des autres prostituées, mais aussi celle du pays.
Blood Crawling Princess : Un manga violent, mature et viscéral
Le premier tome est déjà très violent, entre les scènes sexuelles violentes, les meurtres, les tortures… Je comprends mieux qu’il ne soit pas adapté à tout public. Mais cette princesse brisée est tellement badass. Elle n’est plus seule, et toutes ensemble, elles préparent une révolte sanglante. Visuellement, j’aime beaucoup : c’est un trait très sombre, c’est ultra dynamique aussi. La lecture de ce premier tome de Blood Crawling Princess est vraiment plaisante et j’ai terriblement hâte de lire la suite !
©Yuki Azuma/SQUARE ENIX
Blood Crawling Princess – Auteur : Azuma Yuki – Éditeur : Kurokawa
Chaque tome est disponible au prix de 7.20€ frais de port inclus. Ma note pour ce tome : 17/ 20
